Marie Corbin
Co-fondatrice de Ker-Xavier, architecte diplômée de l’École Nationale Supérieure d’Architecture de Paris-Belleville et titulaire de l’Habilitation à la Maîtrise d’œuvre, Marie Corbin s’est formée à la scénographie d’exposition dès 2006, au département des réalisations muséographiques du Centre Georges Pompidou à Paris. Au travers de son travail de mise en scène d’objets d’art, Marie Corbin ne cesse de développer un regard approfondi sur le rapport entre l’histoire et la matière des objets, et la manière dont ces éléments constituent une habitation en soi.
Elle développe en 2008 son intérêt pour l’exposition dans le monde de l’art contemporain en proposant ses services d’accompagnement à la production auprès d’artistes tels que Anu Pennanen, Benoît Maire et Marie Voignier.
En parallèle de cette activité de scénographe, elle exerce jusqu’en 2014 dans le milieu de la construction et réhabilitation de bâtiments en tant qu’architecte- assistant pour des agences à Paris (Thierry Le-Guay, Naud et Poux, David Serero, Jennifer Carré & Blandine Houssais), ainsi qu’aux États-Unis (Peter Macapia DORA à New-York et Louis Vuitton pour les aménage- ments du flagship store de New-York et Austin ).
Ses propres scénographies ont été visibles entre autres à la BPI du Centre Pompidou de Paris, à l’IMEC de Caen, au Musée des Beaux-Arts de Bordeaux, au MoCo de Montpellier, au FRAC de Nouvelle Aquitaine, au Festival de la BD d’Angoulême. Poursuivant l’ac- compagnement à la production pour l’artiste Benoît Maire, notamment sur des projets de 1% artistique (la MECA à Bordeaux), des installations spécifiques pour des boutiques telles Hermès à Hong-Kong et Istanbul, ainsi que plusieurs collaborations sur les expositions comme « Foncteur d’oubli » au Frac Ile-de-France ou « Thèbes » au CAPC à Bordeaux, Marie Corbin développe continuellement sa recherche sur les espaces d’expo- sition, leurs formes d’expression et modalités de mise en œuvre.
Depuis 2013, Marie Corbin travaille la céramique et l’émaillage sur biscuit de porcelaine, techniques qu’elle a eu l’occasion de développer aux ateliers de la Cité Du Petit-Thouars à Paris.
Installée aujourd’hui en région Nouvelle-Aquitaine, et proche de la ville de Limoges, le berceau de la porce- laine française depuis le 18ème siècle, elle explore les émaux et leurs cuissons sur des vases locaux. Il s’agit en quelque sorte d’habiter la porcelaine de sa région.
Ses vases cherchent également à évoquer ce qu’elle appelle le « Contraste du Monde », c’est-à-dire l’oppo- sition entre deux idées qui permet de faire ressortir chacune d’elles. Ici, la forme finie du vase s’oppose à un émail expérimental et unique. C’est une proposition d’habitation pour fleurs ou secrets, ou simplement un petit lieu contemplatif.
Porcelaine de Limoges, émaux divers, verre fondu, dorure contenant 10% d’or, l’ensemble issu de plusieurs cuissons variables.
Chaque pièce est unique.
Elle développe en 2008 son intérêt pour l’exposition dans le monde de l’art contemporain en proposant ses services d’accompagnement à la production auprès d’artistes tels que Anu Pennanen, Benoît Maire et Marie Voignier.
En parallèle de cette activité de scénographe, elle exerce jusqu’en 2014 dans le milieu de la construction et réhabilitation de bâtiments en tant qu’architecte- assistant pour des agences à Paris (Thierry Le-Guay, Naud et Poux, David Serero, Jennifer Carré & Blandine Houssais), ainsi qu’aux États-Unis (Peter Macapia DORA à New-York et Louis Vuitton pour les aménage- ments du flagship store de New-York et Austin ).
Ses propres scénographies ont été visibles entre autres à la BPI du Centre Pompidou de Paris, à l’IMEC de Caen, au Musée des Beaux-Arts de Bordeaux, au MoCo de Montpellier, au FRAC de Nouvelle Aquitaine, au Festival de la BD d’Angoulême. Poursuivant l’ac- compagnement à la production pour l’artiste Benoît Maire, notamment sur des projets de 1% artistique (la MECA à Bordeaux), des installations spécifiques pour des boutiques telles Hermès à Hong-Kong et Istanbul, ainsi que plusieurs collaborations sur les expositions comme « Foncteur d’oubli » au Frac Ile-de-France ou « Thèbes » au CAPC à Bordeaux, Marie Corbin développe continuellement sa recherche sur les espaces d’expo- sition, leurs formes d’expression et modalités de mise en œuvre.
Depuis 2013, Marie Corbin travaille la céramique et l’émaillage sur biscuit de porcelaine, techniques qu’elle a eu l’occasion de développer aux ateliers de la Cité Du Petit-Thouars à Paris.
Installée aujourd’hui en région Nouvelle-Aquitaine, et proche de la ville de Limoges, le berceau de la porce- laine française depuis le 18ème siècle, elle explore les émaux et leurs cuissons sur des vases locaux. Il s’agit en quelque sorte d’habiter la porcelaine de sa région.
Ses vases cherchent également à évoquer ce qu’elle appelle le « Contraste du Monde », c’est-à-dire l’oppo- sition entre deux idées qui permet de faire ressortir chacune d’elles. Ici, la forme finie du vase s’oppose à un émail expérimental et unique. C’est une proposition d’habitation pour fleurs ou secrets, ou simplement un petit lieu contemplatif.
Porcelaine de Limoges, émaux divers, verre fondu, dorure contenant 10% d’or, l’ensemble issu de plusieurs cuissons variables.
Chaque pièce est unique.
