Benoît Audureau
Potier et céramiste de profession, Benoît Audureau, originaire du Layon, a découvert le métier en participant à un stage au cours de sa jeunesse, à l’age de 14 ans, qui fût une révélation pour lui puisqu’il s’oriente alors vers un CAP tournage, où il apprend à tourner en série, et plus tard un Brevet Métiers d’Art, option céramique, où il découvre les étapes de fabrication, de décoration, la conduite des fours et les fabrications des émaux. Quatre années d’études qui aboutissent en 2014 à son installation au village potier du Fuilet, proche de Nantes.
Travaillant le grès à très haute température, il façonne la terre, une terre brute, locale, qu’il cherche lui-même à la pelle ou dans des poteries voisines. Dans sa méthode de production, il mélange d’abord la terre, puis dépose un engobe (mince couche d’argile liquide), qu’il revêt d’un émail blanc ou transparent, qu’il vient ensuite cuire au bois.
Inspiré par les céramiques asiatiques, et notamment japonaises, chinoises, et coréennes, ainsi que les françaises antérieures au XVIIIème siècle, il recherche un tournage artisanal, naturel, brut, comme ceux réalisés avant l’industrialisation.
Il propose principalement de la vaisselle en tout genre : assiettes, verres, bols, etc., mais aussi de la poterie décorative, pour le jardin. Il sublime l’imperfection. Chacune de ses pièces sont uniques, travaillées à la main. Il puise la richesse de l’argile en ne le dénaturant pas, mais en le sublimant.
Dans sa collection de vases pour Ker-Xavier, il propose sa série la plus expérimentale. Il cherche alors la déconstruction de ses pièces, objets utilitaires, de design, qui deviennent alors objets d’art. Il joue à recoller différents morceaux brisés avec de l’émail blanc, créant ainsi une pièce à partir de plusieurs.
Travaillant le grès à très haute température, il façonne la terre, une terre brute, locale, qu’il cherche lui-même à la pelle ou dans des poteries voisines. Dans sa méthode de production, il mélange d’abord la terre, puis dépose un engobe (mince couche d’argile liquide), qu’il revêt d’un émail blanc ou transparent, qu’il vient ensuite cuire au bois.
Inspiré par les céramiques asiatiques, et notamment japonaises, chinoises, et coréennes, ainsi que les françaises antérieures au XVIIIème siècle, il recherche un tournage artisanal, naturel, brut, comme ceux réalisés avant l’industrialisation.
Il propose principalement de la vaisselle en tout genre : assiettes, verres, bols, etc., mais aussi de la poterie décorative, pour le jardin. Il sublime l’imperfection. Chacune de ses pièces sont uniques, travaillées à la main. Il puise la richesse de l’argile en ne le dénaturant pas, mais en le sublimant.
Dans sa collection de vases pour Ker-Xavier, il propose sa série la plus expérimentale. Il cherche alors la déconstruction de ses pièces, objets utilitaires, de design, qui deviennent alors objets d’art. Il joue à recoller différents morceaux brisés avec de l’émail blanc, créant ainsi une pièce à partir de plusieurs.
